Mes actus :

M. Jean-Philippe Florent (Ecolo). – À l’instar de ce qui se passe dans la société en général, les jeunes en âge d’obligation scolaire peuvent développer des assuétudes à certaines drogues, à l’alcool, au jeu parfois, ou aux antidépresseurs. Ce problème questionne le bien-être dans nos écoles.

M. Jean-Philippe Florent (Ecolo). – Madame la Ministre, le PAPO de WBE a mené plusieurs actions il y a deux semaines: des grèves, mais aussi des actions de sensibilisation des élèves et de leurs familles aux conséquences que pourrait engendrer la perte d’une partie de la dotation de fonctionnement de WBE. Cette perte de dotation est liée à une décision de la Cour constitutionnelle demandant au gouvernement de rééquilibrer le financement des réseaux à la suite d’un recours introduit par le Secrétariat général de l’enseignement catholique (SeGEC).

M. Jean-Philippe Florent (Ecolo). – Il y a quelques mois, l’Union francophone des associations de parents de l’enseignement catholique (UFAPEC) a consacré une étude de grande ampleur aux règles relatives à l’habillement dans les établissements scolaires en Fédération Wallonie-Bruxelles. L’étude intégrait un volet sur le fond, à savoir la manière dont les règlements d’ordre intérieur reflétaient ou non les valeurs et les enjeux actuels.

M. Jean-Philippe Florent (Ecolo). – Certains territoires souffrent d’un manque de médecins. En province de Luxembourg, 37 communes sur 44 sont touchées par une pénurie de médecins généralistes, soit 85 % du territoire. En Wallonie, 61 % des communes sont concernés. Il s’agit d’une préoccupation de premier ordre pour nos concitoyens.

M. Jean-Philippe Florent (Ecolo). – L’été n’a pas encore débuté, mais les dernières semaines ont déjà connu des températures accablantes. Dans certaines classes la température peut allègrement dépasser les 30 degrés. Les apprentissages sont immanquablement affectés par cet épisode de chaleur; certaines adaptations sont indispensables dans le cadre scolaire.

M. Jean-Philippe Florent (Ecolo). – Depuis de nombreuses années, le monde de l’enseignement obligatoire résonne essentiellement au rythme d’une métaréforme qui occupe une bonne partie de nos travaux et de nos échanges. Il s’agit bien évidemment du Pacte pour un enseignement d’excellence. Le Pacte s’est donné pour mission de relever les défis auxquels est confrontée l’école dans un contexte particulièrement inégalitaire.

Monsieur le Ministre, l’émoi reste important parmi les agriculteurs, malgré les signes d’apaisement que vous aviez déjà envoyés vers le monde agricole et également la mise sur pied du groupe de travail antiérosion qui compte apporter des solutions. Les solutions proposées – c’est le sens de vos engagements – concernaient les correctifs devant être apportés à la cartographie, parce que la nomenclature des risques érosifs a créé pas mal d’émoi parmi les agriculteurs ; on convient tous qu’ils doivent être corrigés afin de mieux correspondre à la réalité de terrain.

Madame la Ministre, le mardi 30 mai, les associations environnementales Natagora et Canopea ont fait savoir publiquement qu’elles se retiraient de la gouvernance du label de gestion forestière durable PEFC. Selon elles, le label ne représente plus suffisamment une garantie de gestion durable de nos forêts. Elles pointent que, dans le but d’intégrer davantage les propriétaires privés, les nouveaux standards du programme se limiteraient, à quelques exceptions près, au respect des normes exigées pour les forêts publiques dans le Code forestier.